Ligoté par la masseuse

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il y a 7 ans

Ligoté par la masseuse

Par I am a gentleman

J’étais nu, le haut de mon corps à plat ventre sur le lit. Chacun de mes pieds attachés aux pieds avant du sommier, ce qui maintenait mes jambes écartées. Mes poignets avaient été liés avant d’être rattachés à l’immense ceinture de cordes qui me saucissonnait complètement, m’obligeant à garder mes bras contre mon corps. Deux s a n g les très serrées passant sous le lit m’empêchaient de relever le buste. Une culotte remplissait ma bouche, mes lèvres fermement scellées par plusieurs tours de microfoam. J’étais prisonnier, solidement ligoté et bâillonné.

Je l’entendis monter les escaliers pour me rejoindre ce qui me fit vainement tortillé dans mes liens.

-« Je suis là, je suis là, inutile de t’impatienter ! »

-« Mmmpphh mmmpphh ! » répondais-je à travers mon bâillon, appréciant l’ironie de la situation.

-« Il me tarde de m’occuper de ton petit cul de jeune homme, je vais être très douce ne t’en fais pas ! »

-« Mmmffphh ! » hurlais-je de plus belle en me débattant, ce qui eut pour effet de remuer mes fesses, seule partie de mon corps n’ayant pas était privée de sa mobilité.

Je senti son souffle sur mes fesses, ses mains se posant pour les écarter. Je tentais toujours de me libérer en grognant tout ce que je pouvais. Maudit bâillon qui étouffait mes cris…. Je senti subitement quelque chose d’humide et de chaud chatouillant les contours de mon anus ! Sa langue ! Elle me léchait le cul !

-« MMMMGNGHHHFHH ! MMMFFPHHHH ! GNHMMHH ! »

-« Grogne autant que tu le veux, tu resteras bien silencieux mon tout beau ! Mais fais-moi confiance, tu regretteras le moment où j’arrêterai et tu me supplieras de continuer ! »

Ça jamais ! Mais trop tard ! Sa langue titillait habilement mon cul et s’insérait à l’intérieur. Cette garce savait ce qu’elle faisait et je sentais mon érection grandir et grandir ! Je me battais avec fureur contre mes liens, tentant de pousser cette culotte hors de ma bouche mais f o r c e est de constater que rien ne bouge. J’étais saucissonné, solidement bâillonné et mes soufflements changèrent bientôt de tonalité et de rythme !

-« Oh non, tu ne vas pas jouir maintenant ! Je vais m’amuser avec toi d’abord ! »

Je me surpris à gémir furieusement de frustration à travers mon bâillon, n’appréciant guère être laissé au bord de l’orgasme ! Je sentis qu’elle me détachait les chevilles avant de retirer les s a n g les qui me plaquaient sur le lit. J’aurai pu essayer de me lever mais je n’en fis rien. Elle me retourna sur le dos et me déplaça avec un petit sourire en coin jusqu’à poser ma tête sur l’oreiller et alla chercher d’autres cordes. Une corde vint lier mes chevilles puis une autre en dessous et au-dessus de mes genoux. Elle prit une troisième corde qu’elle fit passer au niveau de mes chevilles déjà sécurisées, je me demandais à quoi elle allait servir, le hogtie étant exclu vu qu’elle souhaitait certainement avoir accès à mon cul, ne m’en déplaise. Je compris en voyant l’anneau fixé dans le mur, à un bon mètre en hauteur au-dessus de l’oreiller. Elle passa la corde dans l’anneau et tira doucement jusqu’à ce que mes jambes soient maintenues dressées. Je me maudis de l’avoir installé.

-« Tu es bien silencieux, tu ne cherches plus à te débattre ? J’aime quand tu te débats… »

Je la défie du regard pour lui faire comprendre que je ne lui accorderai pas ce plaisir.

-« Tu m’excuses une minute ? Je reviens, je fais vite ne t’en fais pas ! »

Elle a décidément le sens de l’humour ! Je profitai de ce moment pour me remémorer de quelle manière avais-je fini ligoté sur mon propre lit.

À la base, une amie m’avait conseillé une masseuse professionnelle pour soulager mon dos, victime d’une mauvaise projection la semaine dernière lors de mon cours de Jiu-jitsu. Fervent de massage, l’idée me plaisait d’autant qu’elle se déplaçait à domicile. Le rendez-vous fut pris pour aujourd’hui, 14h. Je fus surpris en lui ouvrant. Se tenait devant moi une femme mince, de taille moyenne, cheveux noirs mi-long, yeux bruns et surtout plus jeune que je ne pensais ! Je lui donnais entre 25 et 30 ans. D’une tenue simple mais élégante, je remarquais que son sac avait l’air plutôt imposant pour une masseuse. Elle me fit m’allonger à plat ventre sur mon lit se situant dans la mezzanine de mon appartement. À califourchon, elle commença à me masser le haut du dos. Son massage était, je dois le reconnaître, d’une efficacité redoutable. Trop efficace sans doute vu que je finis par m’endormir. Quand je me réveillai, ma position avait changé et était devenue moins confortable. Mes pieds étaient au sol, jambes écartées mais mon buste encore sur le lit. Je compris avec inquiétude que j’étais attaché et que l’on m’avait déshabillé. Je tirai sur mes liens, essayai de trouver un nœud mais en vain. J’entendis quelqu’un monter les escaliers : c’était elle ! Elle tenait quelque chose dans la main droite et vint s’assoir à hauteur de mon visage en souriant.

-« Si c’est une plaisanterie, elle n’est pas mmmfphfmm ! »

Elle venait d’obstruer ma bouche avec une culotte ! Malgré mes efforts pour la recracher, elle me la fit rentrer intégralement dans la bouche avant de fermer ma mâchoire et d’appliquer 3 tours de microfoam autour de ma tête.

-« Voilà tu seras bien sage ! Maintenant écoute-moi, je ne te veux aucun mal. J’aime dominer les hommes que je trouve séduisant, les réduire à l’état de jouet. C’est mon fantasme ! Je vais m’amuser avec toi toute l’après-midi ensuite je te libérerai. Bien sûr, tu resteras attaché et bâillonné cela va de soi ! J’ai pris l’initiative de prendre quelques photos au cas où il te viendrait l’idée de porter plainte, je suis sûr que tu ne m’en voudras pas ! Bon je te laisse un moment, je vais visiter en détails ton appartement. ».

Et voilà comment je me retrouvai là, à attendre que madame aille chercher je ne sais quoi. Je ne cherchais pas à me libérer, j’avais compris que c’était peine perdue. En revanche, je réfléchissais à ce que je lui ferais si elle m’en laissait l’occasion. Je l’entendis revenir, oui la discrétion est exclue quand on a un escalier en bois. Ma nouvelle position me permet de la voir arriver, son sac à la main. Elle le pose à côté du lit et en sort un gros plug et un rouleau d’adhésif. Je commençais sérieusement à m’inquiéter, se faire lécher le cul c’est une chose mais un plug, surtout de cette taille, c’en est une autre !

-« Oui il est un peu gros pour une première fois je sais » dit-elle comme si elle avait lu mes pensées. « Je pense qu’il va te faire grogner un peu, de douleur ou de plaisir je ne sais pas encore cela dépend de toi ! Mais comme je ne voudrais pas que tu déranges les voisins je vais consolider ton bâillon d’abord ! »

-« mmmfghhh ! Humpf ! » Répondis-je en agitant la tête pour lui rendre la tâche la moins facile possible.

Après avoir rajouter 5 tours d’adhésifs bien serrés autour de ma tête, je la vis lubrifier le plug en me regardant. Je me débattais frénétiquement dans mes liens, soufflant et grognant derrière mon bâillon. Je savais bien que cela n’éviterait en rien ce qui allait se produire, mes fesses étaient bien en évidence, légèrement en l’air. Je sentis le plug entrer dans mon anus, mon sphincter n’était pas encore prêt lorsqu’elle le poussa entièrement à l’intérieur. Aie !!! C’était un peu douloureux sur le coup, moins maintenant. Mes yeux lui lançaient des éclairs !

-« La situation ne te laisse pas indifférent à ce que je vois ! » dit-elle en voyant mon sexe droit comme un i. Puis sans attendre, elle le fourra dans sa bouche !

-« Mfmmm… mfmmm… Fis-je, très excité par la situation et oubliant presque la présence de ce corps étranger dans mon cul.

Elle se lance dans un va-et-vient rythmé, me chatouillant le gland au passage ce qui m’arracha des gémissements de plaisir ne la laissant pas indifférente. Elle s’interrompt soudainement.

-« Attends un peu, je n’en ai pas finis avec toi ! » me dit-elle avant de diriger sa main vers mes fesses. Mince ! Le plug vibre ! FORT !!! Elle eut un rictus avant de retourner s’occuper de mon membre turgescent.

-« MMMMFGHGH ! MMMMMMFPHPHPGH ! MMMGHPHMM !!! » hurlais-je, subjuguer par les sensations. Mais j’étais étroitement bâillonné et aucun son intelligible ne sortit de ma bouche.

Je ne pensais plus du tout à ma situation, je ne souhaitais que jouir ! Mais malgré mes sursauts et mes grognements frénétiques, elle me fit attendre. Quelle garce, je l’aimais autant que je la détestais en ce moment. Après un long moment, elle se décida enfin à augmenter la cadence et à me laisser jouir d’un plaisir intense. Elle s’allongea près de moi et, de fatigue, je fermais les yeux.

Je fus réveillé par le contact de sa bouche sur mon torse. Je pus constater qu’elle avait détaché mes jambes de l’anneau. Je grognai pour lui faire comprendre que j’étais réveillé.

-« Tu es réveillé ? Ça tombe bien, j’ai encore envie de m’amuser ! » me dit-elle en se mettant à embrasser et sucer mes tétons !

-« Mmmfghhh ! mmmfghhh ! » répondis-je en relevant ma tête pour la toiser du regard.

Elle me sourit, plaqua avec autorité une main sur ma bouche bâillonnée tout en empoignant mon sexe de l’autre et continua de me titiller les tétons. J’ignorais combien de temps s’était écoulé depuis que j’avais joui dans sa bouche mais visiblement mon sexe ne voulait pas rater la fête et grossissait à vue d’œil. Il faut être honnête, la situation m’excitait beaucoup mais ma fierté admettait difficilement être le jouet sexuel d’une femme. Mes jambes n’étant plus liées à quelque chose, je décidai de rouler pour échapper à son emprise. Comprenant ma manœuvre, elle vint immédiatement se mettre à califourchon sur mes jambes, les plaquant sur le lit.

-« Monsieur essaie de m’échapper ? Ce n’est pas grave mais je vais te punir pour cela tu le sais non ? » dit-elle en continuant de me branler.

-« MMMMFGHGH ! MMMMMMFPHPHPGH ! »

Je me débattais comme un beau diable en tirant de toutes mes f o r c e s sur mes liens, grognant à pleins poumons. En vain, je restais saucissonné et parfaitement silencieux. Je n’allais pas tarder à jouir de nouveau aux mains de cette garce ! C’est en la voyant orienter mon sexe vers moi que je compris : elle allait me faire éjaculer sur moi-même !

-« Mmmpphh mmmpphh mmmfphphgh ! » tentais-je de supplier en faisant « non » de la tête.

Elle me fixa en riant, se pencha et donna deux coups de langue sur le bout de mon gland. Je penchais la tête en arrière pour éviter de m’en prendre sur le visage. Mon sperme fut projeté principalement sur mon ventre et ma poitrine, quelques gouttes parvinrent jusqu’ à mon cou. Me voilà propre ! Couvert de mon propre sperme sans moyen d’aller me nettoyer puisque, de toute évidence, elle ne comptait pas me détacher !

-« En voilà un bien joli mâle ! Très sexy ligoté de cette manière mais nous allons passer à autre chose, tu es d’accord ? Oh pardon j’oubliais que tu as une culotte dans la bouche ! Quelle idée tu as eu là, petit coquin ! »

Pas le temps d’apprécier une nouvelle fois son humour, elle me colla un coton sous le nez. Je compris trop tard qu’il s’agissait de C h l o r o f o r m e, je ne pensais pas que c’était aussi efficace que dans les films ! Lorsque je me réveillai, j’eus le réflexe de rester immobile et silencieux et d’analyser ma situation. J’étais allongé sur le ventre, toujours bâillonné et seules mes mains étaient encore attachées. L’occasion était tentante mais je ne savais pas où elle se trouvait. Elle n’était pas partie, ses cordes étaient encore là. Je l’entendis soudain :

-« Oui oui je sais … Mais ne t’en fais pas ça va … Oui j’essaie de me changer les idées … Oui voilà tu as compris hahaha … Non je ne serai pas chez moi ce soir, il est mignon et je m’amuse vraiment bien avec lui. Je pense que je vais prolonger mon séjour chez lui … Oui je sais c’est une première mais je te raconterai !»

Elle était en bas, au téléphone et comptait visiblement s’inviter chez moi.

-« Attends je vais vérifier qu’il dort toujours » dit-elle en montant les escaliers. Je fermais les yeux en espérant ne rien laisser paraître.

-« Non c’est bon il dort encore … Oui un jeune … » reprit-elle en redescendant les marches.

Je roulai doucement jusqu’au bord du lit, en descendit et me pencha pour attr a p e r ma mallette de matériel que je cache sous mon lit. Je l’ouvris et en sorti mes ciseaux de bondage. Je mis un instant à les positionner correctement mais je finis par me libérer. Le plus discrètement possible, je retirai lentement les multiples couches de mon bâillon. Ma bouche fut enfin soulagée de cette culotte. Je fis rapidement jouer ma mâchoire, il fallait réfléchir et vite ! Je décidai d’attendre qu’elle remonte pour la maîtriser. A priori, méritant ma ceinture noire, cela ne devrait pas poser de problème. Elle n’était pas au bout de ses surprises.

-« Bon je te laisse … Oui on fait comme ça ! Tchao je t’embrasse ! »

Je l’entendis remonter lentement les escaliers. Dès lors que sa main arriva en haut de la rambarde, elle se rendit compte que je n’étais plus sur lit. J’en profitai pour attr a p e r son bras et la tirer en dehors des escaliers. Je la fis basculer sur le lit et l’immobilisai. Son bras gauche ramené dans son dos, je tenais fermement d’une main son poignet gauche tout en appuyant de mon autre main sur son épaule droite. Tiens ! Madame avait enlevé son haut !

-« Aie aie !!! Doucement ! » cria-t-elle.

-« Si tu ne te débats pas, je ne te ferai aucun mal. En revanche si tu tentes quoi que ce soit, je me verrai dans l’obligation de tordre lentement ton poignet. À toi de choisir. » dis-je froidement.

Elle ne me répondit pas, sa respiration semblait se calmer un peu. Je poursuivis.

-« Bon choix. Avec ta main droite, attr a p e cette corde et donne-la-moi. Lentement. »

-« Écoute, on peut… »

-« Donne. » répliquais-je sèchement.

Je commençai à lui lier les poignets, en croix. Je le fis lentement, paré à une éventuelle tentative de rébellion. Je finis par un nœud en huit, un classique, mais je laissai une longueur de corde libre dont je me servirais plus tard. Je la trouvais trop habillée alors je défis sa ceinture et lui enleva son short. Elle se tortilla en soufflant pendant la manœuvre, visiblement guère enjouée à l’idée de se retrouver en sous-vêtements.

-« Toi et moi allons discuter. Mais je dois d’abord m’assurer que tu seras dans de bonnes conditions pour cela. Tu vas te lever et aller t’assoir sur cette chaise, tes bras derrière le dossier. »

Je lâchai son épaule et me relevai en gardant une prise sur la longueur de corde. Elle se leva à son tour et s’assit sur la chaise, beaucoup trop docilement à mon goût. Je sortis une de mes cordes en chanvres, celle de 15 mètres. J’aime beaucoup ces cordes de couleur rouge, je les trouve très esthétiques. Je commençais à la dérouler lorsque, ayant compris mes intentions, elle tenta de se lever de la chaise. Je donnai alors un coup sec sur la longueur de corde reliée à ses poignets. Cela eut pour effet de la faire se rassoir brutalement sur la chaise.

-« Aie ! Putain !!! Ça fait mal ! » dit-elle avec colère.

-« Si tu te tenais tranquille, cela ne serait pas arrivé » rétorquais-je en commençant l’attacher sans ménagement au dossier de la chaise.

J’allais lui faire un beau harnais de poitrine, ma spécialité ! Une fois la corde doublée, je la passai trois fois en dessous et au-dessus de ses seins. Bien au milieu de ses omoplates, je fis un nœud d’alouette pour sécuriser le harnais et ainsi empêcher qu’il ne se resserre. Je continuais en resserrant la partie frontale du harnais puis en ramenant la corde au niveau de son épaule avant de faire le tour de son cou et de redescendre le long de l’autre épaule en finissant par un nouveau nœud d’alouette. Elle gémissait de temps à autre mais malgré les apparences je faisais très attention à mon ligotage, je ne voulais en aucun cas lui faire mal. Simplement m’amuser à mon tour ! Je passai ma corde dans la boucle formée derrière son cou en englobant la totalité des cordages du harnais. Cela formait un axe que j’entourai avec la longueur restante en finissant par un nœud plat. Et voilà ! Une belle poignée ! J’admets qu’elle ne me servirait pas à grand-chose dans le cas présent mais j’aime le souci du détail.

Je n’avais pas encore fini mon travail. J’utilisai la longueur de cordes que j’avais gardé au niveau des poignets pour les lier à la poignée du harnais. Devant encore lier ses chevilles aux pieds de la chaise, j’optai, après hésitation, pour les pieds avant.

Mon travail enfin terminé, je pris une chaise et vins m’assoir devant elle. Je ne pus me retenir de sourire de satisfaction, tout comme je ne pus m’empêcher de l’admirer, dans ses sous-vêtements noirs assortis. La voir ainsi vulnérable la rendait encore plus belle qu’elle ne l’était en franchissant ma porte.

-« Hé ho ! Monsieur à fini de rêvasser ? Tu avais dit qu’on parlerait ! Tu pourrais au moins me dire ce que tu comptes me faire ? Bien joué le coup du mec dur et froid, je me suis faite avoir ! Tu n’as jamais eu l’intention de me faire mal je me trompe ? »

  • « Oh pardon désolé, j’ai eu un moment d’inattention ! » répondis-je de manière désinvolte. « Je vais aller prendre une douche ! Et inutile de me faire ces gros yeux ! Tu y es pour quelque chose il me semble. » continuais-je en me levant en direction des escaliers.

Elle avait raison, ce n’était que du bluff. La soumission n’est pas que physique, elle est aussi mentale. J’avais joué avec sa peur de l’inconnu. Elle découvrirait bientôt que ce n’était pas la dernière chose avec laquelle je jouerai.

Après m’être douché, je remontai la voir, son sac à la main. Il faisait chaud, surtout dans ma mezzanine donc je restai torse nu. Il me sembla que la chaise avait très légèrement bougé, madame avait dû, en vain, essayer de se déplacer.

-« Toutes mes excuses pour cette attente, non pas que je n’apprécie pas ta compagnie, mais je tiens à être propre devant une dame. »

-« Tu aurais au moins pu te presser un peu ! Hé une minute là ! Pourquoi tiens-tu mon sac ? Ne t’avise pas de toucher à mes affaires ! » menaça-t-elle en m’adressant un regard furieux.

-« Même ligotée à une chaise, tu penses encore être en mesure de commander ? » répondis-je d’un ton moqueur. « Je souhaite juste comparer le contenu de ton sac au contenu de ma mallette. » continuais-je en allant la chercher et en la déposant sur mon bureau situé quelques mètres devant elle.

Son sac contenait, en plus de ses affaires personnelles, de nombreux jouets : cordes, adhésifs et microfoam, des plugs, des godes dont un gode ceinture et un vibromasseur.

-« Intéressant ton sac mais je préfère ceci ! » lui dis-je en ouvrant ma mallette.

Elle contenait également des cordes et de l’adhésif, mais en plus grande quantité, des bâillons diverses, des menottes de poignets et de chevilles, une cravache, des pinces à seins, des masques, des foulards. Bref, de quoi prendre du bon temps.

-« Bien, maintenant nous allons discuter » dis-je en m’asseyant, amusé par son air inquiet. « Commençons par le commencement, comment t’appelles-tu ? Tu connais le mien vu qu’à la base je suis ton client mais je ne connais que ton nom. »

-« Élodie » répondit-elle, toujours l’air inquiète.

-« C’est un beau prénom ! Quelque chose te tracasses ? Tu as l’air inquiète. »

Elle hésita avant de répondra, baissa les yeux, inspira profondément et me répondit d’un ton solennel.

-« Je sais bien que tu n’as pas l’intention de me laisser partir vu ce que je t’ai fait, tu dois d’ailleurs me prendre pour une folle. Je n’étais jamais tombée sur un adepte de ces choses-là, encore moins un habitué. Tu veux probablement m’humilier à mon tour … Je ne me suis jamais retrouvée ainsi à la totale merci de quelqu’un et j’ai peur de ce que tu pourrais me faire. » avoua-t-elle.

Son honnêteté me prit de court. Elle avait réellement peur et je commençais à m’en vouloir. Certes, on ne peut pas dire qu’elle se soit souciée de moi quand je me débattais, ligoté et bâillonné comme je l’étais. Je décidai de lui faire une proposition.

-« Écoute, je comprends que tu aies peur. Si tu souhaites partir, je te laisserai t’en aller. En revanche, si c’est le cas, je récupérerai au préalable les photos que tu as prises et ne comptes pas me revoir un jour. Mais ce n’est pas ce que je veux. Ce dont j’ai envie, c’est de m’occuper de toi. Je ne peux pas te promettre que tu ne seras ni frustrée ni en colère contre moi mais je ne te ferai aucun mal tu as ma parole. Ai-je apprécié tout ce que tu m’as fait subir ? Non c’est vrai mais tu m’as donné beaucoup de plaisir, dire le contraire serait mentir. Tu disais au téléphone que tu comptais t’inviter ce soir car tu t’amusais bien avec moi, je pense que c’est parce que tu as senti quelque chose chez moi je me trompe ? Quelque chose qui t’intrigue. Alors laisse-moi te prouver que ton instinct a vu juste. »

Ses yeux s’écarquillèrent immédiatement, le regard n’étant plus rempli de peur mais de surprise. Son hésitation était palpable. Elle me dévisageait, essayant sans doute de sonder mes intentions. Je soutenais son regard en souriant. Dieu que je la trouvais belle en ce moment, exposée et hésitante. Elle restait silencieuse.

-« Je ne vais pas partir » annonça-t-elle finalement en me regardant.

Je ne pus contenir ma satisfaction et souris de toutes mes dents. Elle sourit à son tour en penchant la tête de côté. Le jeu pouvait démarrer.

-« Commençons par s’assurer que tu ne fasses pas trop de bruit. » dis-je en me levant. Je choisis de prendre la culotte qui avait occupé ma bouche plus tôt dans la journée ainsi qu’un de mes rouleaux d’adhésif noir. « Ouvre la bouche ma jolie ! »

Elle obtempéra, j’y plaçais la culotte roulée en boule et m’assurai qu’elle ne pourrait pas la recracher en scellant ses lèvres avec des morceaux d’adhésifs. Un sur ses lèvres, un en dessous, un au-dessus puis une deuxième couche disposée de la même manière mais avec des morceaux plus longs, lui remontant sur les joues. Satisfait du rendu, je pris l’oreiller et l’utilisai pour me mettre à genou à côté d’elle. Elle essayait de paraître calme mais sa respiration la trahissait. Maintenant bâillonnée, elle se savait complètement à ma merci. Elle frissonna lorsque je fis passer délicatement mes doigts sur sa cuisse. J’approchai ma bouche de son cou et pris soin qu’elle sente mon souffle avant d’y déposer un baiser. Je descendis peu à peu vers sa poitrine, déposant lentement des baisers ici et là.

-« Tu es vraiment ravissante tu le sais ça ? Je n’aurai pas désiré une autre masseuse. »

Je la sentis sourire sous son bâillon. Je sortis un sein de du bonnet du soutien-gorge et le pris ardemment en bouche.

-« Mmmhh !» fit-elle de surprise.

Son sein durcit rapidement sous caresses de ma bouche, tantôt mordillant, suçant ou léchant ce dernier. J’attrapai le deuxième et en saisis la pointe entre le pouce et l’index.

-« Mmhh mmmghhh ! » gémit-elle.

Son excitation ne faisait que m’exciter encore plus. Après m’être délecté de sa poitrine et lui avoir soutiré d’autres gémissements de plaisir, je m’arrêtai. Allant chercher ma chaise, je viens m’installer derrière elle.

-« Mmmhhh ? » dit-elle d’un ton interrogatif en fronçant les sourcils.

-« Patience Élodie, patience » répondis-je calmement.

Je l’enlaçai, embrassant son cou et ses épaules avant de descendre soudainement une main entre ses cuisses. Surprise, elle essaya instinctivement de reculer. Sans attendre, je me mis à caresser à son sexe en décrivant des cercles avec doigts. Sa réaction ne se fit pas attendre : elle tira sur ses liens, gémissant plus fort sous son bâillon mais mon ligotage ne bougea pas d’un poil et elle demeura silencieuse. Sa respiration se faisait plus forte, plus rapide. Je posais ma tête sur son épaule, pour observer la moindre de ses réactions. Une vue plongeante m’était offerte sur sa poitrine, que je ne manquais pas d’admirer. Elle se mit à bouger son bassin pour accompagner le mouvement de mes doigts. Je m’arrêtai brusquement.

-« Mmmmfghhh !!! » cria-t-elle, frustrée et déçue que je ne sois pas allé plus loin.

-« Madame est déçue dirait-on ? » fis-je, amusé. « Ton plaisir ne doit provenir que de moi. Si tu essaies de participer, j’arrêterai et te laisserai ainsi frustrée ! »

Elle grogna derrière son bâillon, ce qui en disait long sur son désaccord. Les va-et-vient de mes doigts reprirent avec vigueur, titillant son clitoris, alternant les mouvements appuyés et lents avec des légers et rapides. Elle pouvait difficilement me cacher dans quel état d’excitation elle se trouvait, sa culotte était trempée. Je fis descendre celle-ci sur ses cuisses et insérai un doigt dans son sexe.

-« Mmmmmhh … » gémit-elle en appuyant sa tête contre la mienne, visiblement ravie par mon initiative.

J’introduis un second doigt et repris mes va-et-vient. Mon autre main se remit à jouer avec la pointe d’un de ses tétons. Sa peau était chaude, sa respiration saccadée. Ses gémissements se faisaient plus intenses, elle commençait à trembler. L’orgasme était proche. Elle poussa son bassin en avant pour mieux accueillir mes doigts. Je souris et m’arrêtai immédiatement.

-« MMMMFFFGHGH ! MMNG ! MMMMHHH ! » cria-t-elle en remuant la tête comme une furie.

De rage, elle tira sur les liens, soufflant et grognant derrière son bâillon. Je comprenais parfaitement sa frustration. Après tout, elle m’avait fait subir la même chose. Mais ligotée et bâillonnée comme l’était, elle n’avait pas d’autre choix que de subir.

-« Je t’avais pourtant dit de ne pas intervenir mais tu ne peux pas t’en empêcher n’est-ce pas Élodie ? » dis-je. « On va essayer autre chose qui, je pense, te plaira ! » continuais-je en me mettant à genoux devant elle.

Je rapprochai lentement ma bouche de son sexe, voyant son ventre se soulever à intervalles rapides. Elle gémit de plaisir lorsque ma bouche se posa enfin. Je goûtai son sexe avec plaisir, suçant avec fougue son clitoris. Pour son plus grand plaisir, mes doigts reprirent leur place. Cette fois-ci, j’étais bien trop excité pour arrêter quand elle accompagna mes va-et-vient avec son bassin.

-« Mmhh … mmhh… mmmffhh ! MMMHHH ! MMMMMFFFFFGH ! » hurla-t-elle, son corps secoué de spasmes.

Dieu merci, elle était correctement bâillonnée ! Des hurlements pareils m’auraient f o r c é à répondre aux questions de mon voisin bien trop curieux. Je déposai de légers baisers sur son sexe et sur ses cuisses avant de me relever. Ses yeux étaient à demi ouverts, sa respiration était encore forte même si elle ralentissait. Bien qu’elle semblât comblée, je voulais la combler encore plus. Je détachai ses chevilles et défis avec délicatesse le harnais. Lui ordonnant de rester assise, je lui massais ses bras et ses épaules tout en vérifiant que ses mains étaient encore chaudes. Lorsqu’elle se releva, elle retira sa culotte et manqua de tomber. Je la rattrapai et l’enlaçai tendrement par-derrière.

-« Tu m’excuseras si tes mains sont toujours attachées et si je n’ôte pas ton bâillon, je n’en ai pas fini avec toi et je crains fort que tu ne fasses encore du bruit. »

-« Mmmhhh ? » fit-elle en tournant la tête pour me regarder, à la fois intriguée et amusée.

-« Tu es bien trop libre à mon goût, ne bouges pas » dis-je en reprenant ma longue corde rouge.

Cette fois-ci, je modifiai mon harnais de manière à mettre ses seins en évidence d’une manière assez indécente. Ils n’étaient pas gros mais bien proportionnés par rapport à son physique ce qui donnait à ce dernier un aspect très harmonieux. Une fois ligotés, ses seins paraissaient avoir pris du volume. Elle les regardait avec un air amusé. Je terminai une nouvelle fois mon harnais par une poignée. Agrippant cette dernière, je la tirai contre moi et embrassai son cou. Ne pouvant pas me rendre ces baisers, elle frotta ses fesses au niveau de mon sexe de manière provocante. Ma réaction ne se fit pas attendre, je bandais comme un âne.

Je lui ordonnai de s’installer confortablement sur lit. Une fois qu’elle fut installée, je m’allongeai rapidement entre ses jambes, empoignai ses hanches et attirai son sexe directement dans ma bouche. Elle m’excitait terriblement et être entre ses cuisses m’excitait encore plus.

-« Mmmmfphph ! Mmmhhh !!! » gémit-elle, surprise de ma fougue.

La zone autour de son vagin devenait toute rose, celui-ci plus sensible. Sa respiration s’accéléra, elle tenta de reculer mais je maintenais fermement ses hanches. Relevant la tête, elle m’observait agir et sentait son excitation croître en elle, en témoignait l’agitation de ses jambes. Je soutenais son regard, la voir défaillir peu à peu me procurait une grande satisfaction. Ma charmante masseuse s’était transformée en machine à gémir ! Il n’en fallut pas beaucoup pour la conduire à un second orgasme qui la laissa à demi-consciente sur le lit.

Je passai à sa hauteur et l’aidai à se rassoir mais elle s’effondra immédiatement dans mes bras. Doucement, je lui retirai son bâillon.

-« Bienvenue parmi nous Élodie ! » dis-je en souriant. « Comment tu sens-tu ? »

En guise de réponse, elle m’embrassa longuement.

-« Exténuée mais conquise ! » répondit-elle en me rendant mon sourire.

-« Désires-tu quelque chose à boire ? »

-« Oui volontiers, de l’eau s’il te plaît. »

Je l’aidai à s’adosser confortablement contre le mur avant d’aller nous chercher de l’eau. Je revins rapidement auprès d’elle et lui fit boire un grand verre d’eau.

-« Tu sais, si tu me détachais, je pourrais boire toute seule comme une grande ! » dit-elle d’un ton taquin.

-« Madame pense que j’en ai fini avec elle ? » répondis-je sur le même ton en promenant ma main sur sa cuisse.

-« Quoi ?! Tu plaisantes j’espère ?! Enfin je veux dire, tu m’as déjà fait jouir plusieurs fois, que veux-tu de plus ? » fit-elle, mi amusée mi inquiète.

-« Pourquoi pas te faire jouir à nouveau ? »

-« Je n’ai pas l’habitude que l’on s’occupe de moi de cette manière, je ne sais pas si mon entrejambe peut continuer à être stimulé comme tu l’as fait jusqu’à maintenant … »

-« Et c’est compréhensible mais il existe d’autres moyens tu sais. Ce n’est qu’une supposition mais vu l’attention que tu portes à mon cul, je suis presque sûr que le tien n’a jamais goûté ce genre de choses. »

-« Tu comptes me sodomiser ?! Hors de question !!! Je n’ai jamais subi ça et ne compte pas le subir de sitôt ! » cria-t-elle, effrayée.

-« Doucement, doucement ! » dis-je en prenant son visage dans mes mains. « Je ne compte pas te faire quoi que ce soit dont tu n’aies pas envie. T’ai-je donné une seule raison de ne pas me faire confiance jusqu’ici ? »

-« Non … » admit-elle.

-« Dans ce cas, continue de me faire confiance ! »

Nous échangeâmes quelques baisers et quelques regards puis je me levai.

Le dossier de mon canapé était constitué de deux gros coussins rouges rectangulaires, je les pris et revins auprès d’elle. Une fois mis sur le lit, j’installai Élodie en levrette, le haut de son corps reposant ainsi sur les deux coussins superposés. Dans cette position, son charmant postérieur semblait encore plus me narguer. Mais je ne pouvais pas m’occuper de celui-ci avant d’avoir rendu bien silencieuse sa propriétaire. J’optai pour un bâillon-boule rouge, au diamètre intermédiaire de 4 cm, muni d’un panel en cuir très confortable. Elle m’expliqua qu’elle avait une préférence pour les bâillons de type adhésif/microfoam/film plastique, après avoir rempli la bouche de sa victime cela va de soi ! Par conséquent, elle n’avait pas et n’avait jamais eu en bouche un bâillon de ce genre. Malgré sa légère appréhension, la boule entra dans sa bouche sans résistance, je serrai la s a n g le de manière qu’elle ne puisse pas le recracher. J’en avais fini avec sa bouche, au tour de son cul maintenant !

Ma première claque la fit sursauter. Je ne frappais pas fort et à intervalles irréguliers, juste ce qu’il faut pour surprendre et faire prendre un peu de couleur à ses fesses. Je les embrassais, passais ma langue entre elles. Ma captive émit ses premiers gémissements. Au fur et à mesure que ces derniers gagnaient en intensité, je me rapprochais de son anus. Son excitation était montée en flèche et elle bougeait de manière à accompagner les va-et-vient de ma langue dans celui-ci. Maintenant la cadence, je passai une main au niveau de son sexe que je gratifiai de nouvelles caresses. Je la voyais s’agiter dans ses liens, tentant en vain d’attr a p e r mes cheveux avec ses mains.

-« MMMMHHH ! MMMGHH ! MMMMMPHFPHFF !!!! » hurla-t-elle lorsque de nouveaux spasmes se firent sentir.

Elle venait à peine de s’immobiliser qu’elle essaya de me dire quelque chose à travers son bâillon. Je lui retirai immédiatement.

-« Arrête … je t’en prie arrête … je n’en peux plus !» dit-elle avec le sourire. « C’était vraiment … intense … très intense … j’ai l’impression que je vais m’évanouir … »

J’entrepris de la détacher tendrement. Une fois libre, je m’apprêtais à lui masser bras et épaules quand elle me fit face brusquement et me poussa sur le dos. Rapidement, elle me déshabilla, se mit à califourchon sur moi et m’embrassa à pleine bouche !

-« Je n’en peux plus d’attendre, je te veux en moi ! Maintenant ! »

Brièvement surpris, je retrouvai rapidement ma lucidité. Son regard m’enivrait, j’en oubliais même que, quelques heures plus tôt, j’étais totalement à sa merci, prêt à assouvir ses désirs pervers. Je remerciais je ne sais qui de la tournure qu’avaient pris les événements. Au comble de l’excitation, nous fîmes l’amour avant de jouir v i o l emment l’un dans l’autre.

Épilogue

Allongé sur le lit, j’observais Élodie, blottit contre moi. Je passais ma main dans ses cheveux. J’adore sa coiffure dégradée, ses cheveux arrivants juste au-dessus de ses épaules.

-« Dis-moi … » commença-t-elle en plongeant son regard dans le mien. « Tu penses que ça pourrait marcher entre nous ? »

-« Hein ? » répondis-je bêtement sur le coup de la surprise.

-« C’est ridicule je sais mais tu as vu certains de mes fantasmes pervers et pourtant tu m’as bien traitée. Tu ne m’as ni frappée, ni insultée. Depuis que j’assume mes fantasmes, je n’ai jamais envisagé de me remettre en couple. Supporter les commentaires et le regard des gens qui ne respectent pas les goûts de chacun est trop difficile pour moi … Tu avais raison en disant qu’avec toi j’ai ressenti quelque chose. J’avais l’impression que tu pourrais devenir mon jouet à plein temps en quelque sorte. Bon je sais maintenant que c’est raté, tu es un dominant. Mais vu la manière dont tu t’es occupé de moi et ce que j’ai pu ressentir, égoïstement, j’ai pensé que nous pourrions apprendre à se connaître. »

-« Pardonne mon silence, tu m’as surpris ! J’accepte avec plaisir ! Tu sais, si cela doit se faire, je ne vois pas d’inconvénient à inverser les rôles quand tu en auras envie. Je ne peux exiger de toi que tu renonces à tes fantasmes ou à tes envies. » dis-je en souriant.

-« Vraiment ?! » dit-elle, le regard remplit d’espoir. « Tu acceptes et tu me laisseras jouer avec toi ?! Cela parait trop beau pour être vrai ! » fit-elle avant de m’embrasser.

-« Hahaha oui je le conçois mais je suis un gentleman ! »

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